« Espace d’une parole en lutte contre le monde et ses aberrations, chambre d’échos du politiquement incorrect, lieu d’expression plus ou moins libre qui laisse entendre les voix parfois dérangeantes des insatisfaits, la satire, c’est le moins qu’on puisse dire, pose problème. »
C’est ainsi que l’étudiante lausannoise Alice Bottarelli décrit le séminaire que la Fondation a organisé ce 24 avril à Morges : non sans ajouter cependant que si la satire pose ces défis, elle est « bien faite pour ça ». Dans le cadre d’un séminaire « Univers Suisse » qui s’intéressait aux différences culturelles dans l’acceptation de la satire, sont intervenus le neuropsychologue de l’Université de Fribourg Sebastian Dieguez, satiriste à ses heures, et la juriste Raphaela Cueni, ancienne boursière Binding de la Fondation qui, à l’Université de Bâle, s’occupe de la satire d’un point de vue juridique. Faut-il rappeler qu’à Morges se trouve la Maison du dessin de presse qui dans de nombreuses expositions a déjà parcouru le phénomène satirique dans la presse ? Alice Bottarelli vous en dira davantage dans le rapport suivant.
Compte rendu d’Alice Bottarelli : → PDF…